Liège
- Pour les autres lieux du même nom, voir Liège (homonymie).
Liège ((wa) Lidje) | |
![]() Vue op de südleche Wutz vun Outre-Meuse vun der Kennedy-Bréck aus an d'Rue Grétry gekuckt et Vue de la rive sud d'Outremeuse depuis le pont Kennedy | |
Informations | |
Régions | ● Wallonie |
---|---|
Cours d’eau | Canal de Monsin, Meuse, Ourthe, canal Albert, Projet de canal Meuse et Moselle |
Altitude | 66 m |
Gentilé | Luikenaar, Lieĝano, Liégeois, Liégeoise, Lidjwès, Lidjwèse, liegesi |
Code postal | 4000, 4020, 4030, 4031, 4032 |
Préfixe téléphonique | 04 |
Fuseau horaire | UTC+01:00, UTC+02:00 |
Bureau d’informations touristiques | Feronstrée 92. ![]() e-mail : [email protected] |
Localisation | |
| |
Site officiel | |
Site touristique |
Liège (prononcé : /ljɛʒ/ ou alors, prononcé Liéch comme les Liégeois) est le chef-lieu de la province de Liège et la capitale économique de la Région wallonne en Belgique. Son surnom le plus connu, et toujours utilisé régulièrement de nos jours, est « La cité ardente » du titre d'un roman chevaleresque écrit par Henry Carton de Wiart édité en 1904 et racontant le sac de la ville par les troupes de Charles le Téméraire en 1468.
Elle est également surnommée « La Cité mosane », « L'Athènes du nord » qu'elle doit à ses écoles réputées dès le Moyen Âge, « La ville aux 100 clochers », « La fille ainée de Rome » comme la surnommait Pétrarque ou encore « Fille de l'Église romaine », cette dernière mention figurait, par ailleurs, jadis sur le sceau de la cité.
Comprendre
[modifier]Avec environ 700 000 habitants, l'agglomération liégeoise est, après celles de Bruxelles et d'Anvers, la troisième agglomération belge la plus peuplée et la première de Wallonie. En termes de densité de population, elle occupe le deuxième rang national après Bruxelles. La ville, en elle-même, est, avec environ 200 000 habitants, la quatrième commune du royaume après celles d'Anvers, de Gand et de Charleroi mais n'occupe que la septième place en termes de densité de population. C'est aussi, après Rotterdam, la plus importante localité et agglomération de toute la vallée mosane.
Malgré, et peut-être aussi grâce à, son riche passé industriel (charbonnages et industrie, principalement métallurgique et mécanique) et, tout simplement, son histoire qui débuta au Mésolithique, la cité est la première ville touristique de Wallonie car elle recèle d'innombrables richesses à découvrir qui ne manqueront pas de vous étonner. Les collines abruptes et boisées qui l'entourent ainsi que son relief marqué, multiplient les perspectives originales uniques qui constituent un spectacle à part entière, pour une grande ville, en Belgique. Les multiples quartiers typés lui accordent un charme étonnant. Les nombreux monuments dont les fleurons datent de l'époque médiévale, premier apogée de la ville, lui confèrent un attrait historique certain tandis que la Meuse, qui la traverse du sud au nord, lui donne un air magique, magnifiquement mis en évidence par des aménagements, que seul, en Belgique, Anvers n'a pas à envier.
Un folklore très présent, pour ne pas dire bouillonnant, entretenu par une population accueillante, joviale et toujours prête à festoyer, des quartiers animés (« Le Carré », les alentours de la place Saint-Lambert, Outremeuse) ainsi qu'un grand nombre de restaurants et une gastronomie locale très présente achèvent d'en faire une étape incontournable pour toute visite en Belgique.
Informations touristiques
[modifier]Depuis 2006, la ville de Liège et onze communes de sa périphérie ont créé une ASBL, l’Office de tourisme du Pays de Liège, afin de promouvoir ensemble leur tourisme. Le point info ce trouve dans le quartier du Cœur historique de Liège et il ne faut pas confondre cet office de tourisme avec celui de la province de Liège dont le point info se trouve également dans le Cœur historique mais place Saint-Lambert.
- 1 Office de tourisme du Pays de Liège
Quai de la Goffe 13 (bus
5
, 6, 7, 134 arrêt « Rue de la Cité »
ou 1
, 4
, 24
arrêt « St Jean-Baptiste »
(direction périphérie) ou arrêt « Velbruck »
(direction centre)),
+32 4 2219221, courriel : [email protected]
du 1er juin au 30 septembre : lun.–dim. : 9 h – 18 h, du 1er octobre au 31 mai : lun.–dim. : 9 h – 17 h. –
(gratuit)
Présence d’un agent référent PMR chargé des contacts avec les associations et les groupes de PMR, des conseils relatifs aux produits spécifiques et des réservations des visites adaptées.
Cependant, la cité possède aussi un bureau d'accueil pour ses propres touristes :
- Bureau d'accueil de la ville de Liège
(dans la « salle des pas perdus » de la gare de Liège-Guillemins),
+32 4 2219221, courriel : [email protected]
lun.–dim. : 9 h – 16 h. –
(gratuit) (FreeWifi-NmbsSncb)
Géographie physique
[modifier]Relief, géologie et hydrographie
[modifier]La ville se situe au carrefour de trois zones géographiques naturelles : au nord, la Hesbaye, entre 160 et 200 mètres d'altitude, une des principales zones agricoles de Belgique ; à l'est, le Pays de Herve, entre 200 et 320 mètres d'altitude, qui est un paysage plus vallonné et arboré ainsi qu'une grande région fruitière ; au sud, les plateaux du Condroz, entre 200 et 280 mètres d'altitude, portes de l'Ardenne où dominent landes et forêts et, du haut de ses 694 mètres, le point de plus haute altitude en Belgique, le signal de Botrange. Le sous-sol, quant à lui, est caractérisé par la présence de la faille du midi, ligne de fracture encore sismiquement active, qui explique non seulement la présence de charbon mais aussi le risque sismique et notamment le tremblement de terre de Liège du , dont les dégâts ont été estimés à 73 500 000 € bien que la magnitude ML de 5.0 du séisme ait été modérée.
Du point de vue hydrographie, Liège est traversée suivant une direction générale sud-ouest - nord-est et sur environ 12 kilomètres par la Meuse dont la largeur de vallée, d'environ 1 300 mètres au niveau de la vieille ville, est assez faible. Celle-ci, ainsi que ses deux affluents, l'Ourthe et la Vesdre, est entièrement canalisée depuis 1835. Un autre cours d'eau, la Légia, qui est le véritable responsable du premier développement de Liège en générant un cône de déjection surélevé d'environ 7 mètres, l'actuelle place Saint-Lambert, par rapport à la Meuse est quant à lui, hormis sa source, entièrement souterrain depuis 1697 mais malgré tout dissocié des égouts. D'autres cours d'eau, tels le ruisseau des Tawes ou celui de Cornillon sont, eux, incorporés au système d’égouttage et complètement oubliés de la mémoire de la plupart des Liégeois.
Une particularité hydrographique de la région liégeoise sont les areines creusées au pied des collines et destinées à évacuer, par écoulement, l'eau des exploitations de la houille. Les premières datent du XIIIe siècle. Ces galeries ont toujours, depuis leur creusement, permis d’approvisionner la ville en eau courante de qualité et sont, depuis 1687, à l'origine de son système moderne d'alimentation en eau. La plus célèbre et la plus ancienne areine au monde est celle de Richonfontaine datant de 1244.
Climat
[modifier]
Géographie humaine
[modifier]La ville, tout comme son agglomération, comprend plusieurs zones rurales, parfois à moins de 200 mètres de son cœur historique, et compte environ 200 000 habitants pour une superficie de moins de 70 km2. Cette relative faible densité de sa population, pour une métropole, résulte tant de la morphologie dominante de l'habitat individuel que de la subsistance jusqu'à proximité du centre-ville de nombreux espaces non urbanisés. Ces espaces vides sont de trois types : les versants trop escarpés, les zones industrielles (dans la vallée, mais aussi jusqu’aux plateaux où les terrils marquent les anciennes exploitations charbonnières) et les vastes espaces boisés du Sart-Tilman au sud.
Toponymie
[modifier]Déjà au Moyen Âge, l'origine du nom suscitait des interrogations et des hypothèses. Selon la plus récente révision toponymique de la Commission royale de toponymie et de dialectologie concernant Liège et datée de 2012, les deux hypothèses les plus vraisemblables sont :
- Legia qui viendrait du bas latin laetus signifiant « libre, vacant, inoccupé ». Ces leticae terrae (« terres libres, vacantes ») étaient souvent concédées, par l'autorité impériale romaine, à des colons d'origine germanique pour réduire le risque de nouvelles invasions. Ces terres inoccupées leur étaient concédées héréditairement, à charge pour eux de les cultiver et au besoin de servir dans l'armée romaine comme auxiliaire pour les défendre. Ils étaient également libres de garder leurs coutumes. On retrouve dans les textes du Ier siècle la mention de villa Legia rustica ;
- Leodium en vieux francique, dérivé lui-même du bas latin Leodicum, désignant tout homme qui, dans une tribu ou une nation germanique, n'était pas d'origine étrangère au peuple, libre et vassal du roi. On retrouve dans les écrits du VIIIe siècle les mentions de Villa Leodio puis de Civitas Leodio.
Nul ne sait exactement qu'elle est la bonne hypothèse. Le rapport entre Legia et Leodium reste obscur et cette dualité n'est pas résolue. Dans un même poème du XIe siècle, l'on trouve neuf fois la mention Leodium et huit fois la mention Legia. Il est, par contre, certain que ce n'est pas le ruisseau de la Légia qui a donné son nom à la ville mais bien l'inverse.
Quant-à la graphie actuelle, C'est en 1946 seulement que « Liège » a été adoptée par une décision officielle, en dépit de la prononciation locale, restant communément Liéch. Le « é » demeure cependant d'application pour le gentilé et le qualificatif « liégeois(e) ».
- La section « Étymologie » est issue de l'article de Wikipédia en français intitulé « Étymologie de Liège » (voir la liste des auteurs).
Histoire
[modifier]





Née sur un cône de déjection formé par un des bras de la Meuse et le ruisseau de la Légia descendant du plateau d'Ans, Liège, dont l'histoire fût loin d'être un fleuve tranquille, a été la capitale d'un État pendant plus de huit siècles. Durant cette époque, sa particularité politique, tout comme celle des 22 autres Bonnes Villes liégeoises, était qu'elle était dirigée conjointement par deux maïeurs (bourgmestres) élus pour un an et issus, pour l'un, de la noblesse et, pour l'autre, de la bourgeoisie (à de partir 1384 par deux « ouvriers à main » issus de la corporation des XXXII bons métiers de Liège). Les frictions entre le prince évêque et le peuple de Liège étaient fréquentes à tel point qu'à plusieurs occasions de bataille, les Liégeois, aidés par les habitants des autres bonnes villes de la principauté, se sont directement opposé au prince et à ses alliés.
Date | Évènement | Remarque |
---|---|---|
Mésolithique | Occupation, qui ira sans discontinuer, du site de l'actuelle place Saint-Lambert. | Le résultat des fouilles est visible dans l'Archéoforum. |
Fin du Ier siècle | Érection d'une villa romaine, la villa Legia rustica, toujours à l'endroit de la place Saint-Lambert. | Les fondations ainsi que l'hypocauste sont visibles dans l'Archéoforum. |
VIe siècle | Monulphe de Maastricht (saint Monulphe) érige une chapelle, toujours et encore place Saint-Lambert. Rapidement, une bourgade s'établit autour de celle-ci. | |
Entre 696 et 705 | Assassinat de Lambert de Maastricht (saint Lambert) dans la bourgade. | |
Début du VIIIe siècle | Hubert de Liège (saint Hubert), le successeur de Lambert de Maastricht, transfère les reliques de son prédécesseur à Liège dans un nouveau sanctuaire dédié à Notre-Dame et fixe sa résidence principale dans le bourg de Villa Leodio qui devient, alors, rapidement une véritable ville (Civitas Leodio) entourée de murs épais | |
972 | Notger devient évêque de Liège et renforce les défenses de la ville. | |
985 | Notger devient le premier prince-évêque et, par conséquent, la cité devient la capitale d'un État : la principauté de Liège. | |
Début du XIIIe siècle | Construction, à partir de 1204, d'une nouvelle enceinte, plus vaste, en remplacement de celle érigée par Notger. | |
1212 | Henri Ier, duc de Brabant, investit la ville et la met à feu et à sang. Cet affront est sévèrement sanctionné l'année suivante à la bataille de Steps où les troupes liégeoises triomphent des Brabançons. Cet épisode marque la première défaite dans l'histoire d'une armée féodale face à une armée dans laquelle on trouve, entre autres, des milices urbaines. | |
1246 | Première célébration de la Fête-Dieu au monde en la basilique Saint-Martin. Cette fête religieuse voulue par deux Liégeoises, Julienne de Cornillon (une religieuse augustinienne) et Ève de Liège (une moniale recluse), fût officiellement instituée le 8 septembre 1264 par le pape Urbain IV et sa date fixée au jeudi après la fête de la Trinité (mais célébrée le dimanche après cette fête dans les pays où elle ne donne pas lieu à un jour férié). | La Fête-Dieu est un jour férié notamment dans les lands catholiques d'Allemagne, au Brésil, dans les cantons suisses catholiques, à Monaco, en Pologne, au Portugal. |
nuit du 3 au | Nuit du « Måle Saint-Martin », c'est-à-dire de la mise à feu par les métiers liégeois de la basilique Saint-Martin où s'étaient réfugiés les patriciens de la ville. Cet évènement sera suivi par la signature, le 14 février 1313, de la « Paix d'Angleur » qui abolit les privilèges des lignages et donne plus d'importance aux métiers dans la gestion de la cité. | La ferme dite de la Paix d'Angleur où fût signée cette charte existe toujours. |
Signature de la « paix de Fexhe » qui garantit une participation du peuple dans la gestion de la cité par l'entremise des corporations de métiers. Des libertés démocratiques fondamentales sont acquises : inviolabilité du domicile, prohibition des arrestations arbitraires, proscription des tribunaux d'exception, etc. C'est, après la Magna Carta Libertatum anglaise de 1215, la plus ancienne charte instituant des libertés et droits démocratiques ayant une valeur constitutionnelle depuis l'Antiquité. | L'original est conservé aux archives de l'État à Maastricht. | |
Charles le Téméraire, duc de Bourgogne, et Louis XI, roi de France, assiègent la ville qui refuse la tutelle bourguignonne. Dans la nuit du 27 au 28 intervient l'épisode des « 600 Franchimontois » qui furent, peu s'en faut, sur le point de tuer, à la fois Charles le Téméraire et Louis XI. En représailles, la ville est, hormis les édifices religieux, complètement incendiée (son incendie dura, dit-on, sept semaines) et sa population victime d'un terrible massacre. Le perron est transféré à Bruges en guise d'humiliation et ne reviendra que 10 ans plus tard à la mort de Charles le Téméraire. | ||
Révolution liégeoise. Celle-ci donnera naissance à la République liégeoise. | ||
Restauration forcée de l'ancien régime et remise en place d'un prince-évêque à la tête de la principauté par les troupes du Saint-Empire romain germanique. | ||
Restauration de la République liégeoise avec l'aide de l'armée française. | ||
Début 1794 | Début de la démolition de la cathédrale Notre-Dame-et-Saint-Lambert par les Liégeois qui la considèrent comme le symbole du pouvoir du prince-évêque. Il faudra 15 ans pour achever cette démolition et 15 ans supplémentaires pour niveler définitivement le terrain occupé par l'édifice qui était, avec sa grosse tour culminant à 135 m, la 2e plus haute cathédrale du monde. Cette démolition d'une cathédrale par ses propres anciens paroissiens est un fait unique dans le monde chrétien. | Les vestiges des trois cathédrales successives ainsi que la base des seize piliers du vaisseau central de la nef sont visibles dans l'Archéoforum. Sur la place des colonnes métalliques simulent la largeur de la nef de la dernière des cathédrales. |
Seconde restauration de l'ancien régime suite à la défaite, à Neerwinden, de l'armée française par les troupes autrichiennes. | ||
La principauté de Liège est incorporée à la République française entrainant ainsi sa disparition définitive après plus de huit siècles d’existante. Liège devient le chef-lieu du département de l'Ourthe. | ||
La Belgique actuelle est intégrée au Royaume des Pays-Bas et Liège devient le chef-lieu de la province de Liège. | ||
La Belgique devient indépendante et Liège reste le chef-lieu provincial. | ||
1835 | Comblement des bras de la Meuse et création de grands boulevards ou de rues à leurs places. | |
Inauguration de la première gare des Guillemins et du dernier tronçon de la ligne ferroviaire reliant Liège à Bruxelles. Ce tronçon, en forte pente, est muni d'un système de traction / freinage additionnel à câbles. L'année suivante, Liège est aussi reliée à Cologne par chemin de fer. | ||
1905 | Tenue de la 15e des Expositions universelles. | |
Résistance des forts de Liège pendant 11 jours à l'avance de l'armée allemande qui est obligée d'utiliser ses supers obusiers de 420 mm (« Grosse Bertha »). Cette résistance permettra une réorganisation des troupes alliées. Ce fait vaudra à la cité de devenir la première ville étrangère à recevoir la Légion d'honneur. | ||
1939 | Tenue de la 27e des Expositions universelles. | |
Nouvelle résistance des forts liégeois pendant 18 jours face à l'armée allemande. Seul le fort de Tancrémont ne sera jamais pris par la force. | ||
1957 | Incorporation d'un aéroport civil dans la base aérienne de Bierset. | |
Mise à sac de la gare des Guillemins par les grévistes hostiles aux mesures gouvernementales. | ||
Fusion des communes, plusieurs communes voisines sont annexées à Liège . La ville passe ainsi de 22,7 à 69,39 km2. | ||
La ville devient officiellement la capitale économique de la Région wallonne. | ||
Séisme d'une magnitude ML de 5.0 qui affecte principalement la ville et sa périphérie immédiate. | ||
Intégration de la gare des Guillemins au réseau des TGV. | ||
Inauguration de la nouvelle gare des Guillemins. | ||
2010 | Fermeture de la partie militaire de l'aéroport de Liège. La Région wallonne, disposant alors de l'entièreté des installations, peut les développer à sa guise et en faire un aéroport international spécialisé dans le transport de marchandises (8e aéroport européen en 2016). | |
Un tireur, Nordine Amrani, armé d'un fusil d’assaut et de plusieurs grenades ouvre le feu sur la foule place Saint-Lambert. Cette tuerie fait cinq morts et 125 blessés. | ||
Inauguration de la passerelle La Belle Liégeoise qui devient le 37e pont de la ville et la 9e passerelle cyclo-pédestre |
Bibliographie
[modifier]- Henry Carton de Wiart, La cité ardente (histoire, nouvelle historique), Paris, Perrin, coll. « Terres d'histoire. », (réimpr. 2005) (1re éd. 1904), 253 p. (ISBN 978-2-9303-5943-4) (OCLC 62533371)
- Jacques Dubreucq, Liège en cartes postales anciennes (histoire, voyages), Zaltbommel, Bibliothèque européenne, , 160 p. (OCLC 37879223)
- Jean Lejeune et Suzanne Collon-Gevaert, Liège et son palais : douze siècles d'histoire (histoire), Anvers, Fonds Mercator, , 367 p. (ISBN 978-9-061531-07-4) (OCLC 902129888)
- Joseph Deckers, La collégiale Saint-Jean de Liège : mille ans d'art et d'histoire (histoire), Liège, Mardaga, , 149 p. (ISBN 978-2-802100-33-1) (OCLC 64369339)
- François-Xavier Nève (photogr. Vincent Botta), Jardins et coins secrets de Liège (espaces verts), Alleur, Éditions du Perron, , 107 p. (ISBN 978-2-871141-38-9) (OCLC 822601043)
- François-Xavier Nève et al. (ill. Herman Schmit, photogr. Joseph Jeanmart), Liège : ville et lumières (monuments, éclairage), Alleur, Éditions du Perron, , 179 p. (ISBN 978-2-871141-95-2) (OCLC 717936266)
Quartiers
[modifier]
|
Aller
[modifier]En avion
[modifier]Situé sur le territoire de la commune de Grâce-Hollogne, l'aéroport international de Liège, dont le nom officiel est « Liège Airport » mais qui est aussi connu localement sous la simple appellation de « Bierset », est à 10 min en voiture du centre de Liège via l'autoroute A602
![]() | Correspondance avec d'autres transports | ![]() |
---|---|---|
![]() 1 Aéroport de Liège (Liège Airport IATA : LGG OACI : EBLG ) |
|
Compagnie aérienne | Destination(s) |
---|---|
TUI fly Belgium | ALC Alicante, CMN Casablanca-Mohammed V, LPA Las Palmas-Gran Canaria, AGP Malaga-Costa del Sol, TNG Tanger, TFS Ténérife-Sud Reine Sofia vols saisonniers : ABD Abadan,AYT Antalya, DJE Djerba-Zarzis, NBE Enfidha-Hammamet, HER Héraklion-N. Kazantzákis, ADB Izmir-A. Menderes, ASR Kayseri-Erkilet, KGS Kos-Hippocrate, PMI Palma de Majorque, RHO Rhodes-Diagoras, TTU Tétouan-Sania R'mel |
(dernière mise à jour le ) |
En train
[modifier]La gare de Liège-Guillemins accueille les Thalys en direction de Paris (via Bruxelles) et de Cologne (7 départs quotidiens) ainsi que les ICE vers Bruxelles d'une part et vers Cologne et Francfort d'autre part (3 départs quotidiens). Depuis , la gare accueille aussi (2 fois par semaine dans chaque sens) le Nightjet qui relie Bruxelles à Vienne. La SNCB relie, en direct, la gare des Guillemins à toutes ses autres gares belges ainsi que à celles de Maastricht et de Luxembourg tandis que l'accès à Aix-la-Chapelle s'effectue avec une correspondance à Welkenraedt ou à Verviers.
La liaison vers la gare ferroviaire de Liège-Palais située à deux pas du cœur de la ville se fait aisément selon une fréquence de 10 à 15 min selon le moment de la journée.
Les voyageurs peuvent également emprunter les bus du TEC Liège-Verviers dont les arrêts se trouvent devant l'entrée principale de la gare. Les lignes 1 ou 4 les conduiront tout aussi rapidement, via des sites propres, au terminal « Opéra » situé dans le cœur de la cité. La ligne 57, quant à elle, relie directement la gare à l'aéroport, via l'autoroute A602, en 10 min du lundi au vendredi.
![]() | Compagnies ferroviaires | Destinations directes | Correspondance avec d'autres transports | ![]() |
---|---|---|---|---|
![]() ![]() 2 Gare de Liège-Guillemins |
|
|
|
|
En autocar
[modifier]Les sociétés internationales de transport de voyageurs Eurolines et Flixbus possèdent un point d'arrêt à Liège à la gare de Liège-Guillemins.
- 4 Eurolines Liège
billetterie : rue des Guillemins 94 — station : rue Varin 33-34,
+32 4 2223618
billetterie : du lundi au vendredi de 9 h – 13 h et 14 h – 17 h 30, le samedi de 9 h – 12 h 30 et 13 h 30 – 15 h 30, enregistrement à la station tous les jours de 5 h 45 – 23 h.