Abidjan
Abidjan Abidjan | |
Informations | |
Région | District autonome d'Abidjan |
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Océan | Golfe de Guinée (océan Atlantique Nord) |
Cours d’eau | golfe de Guinée Banco |
Altitude | 18 m |
Superficie de l’agglomération | 2 119 km² |
Population de l’agglomération | 7 567 409 hab. |
Gentilé | Abidjanese, Abidjanais, Abidjanaise, абиджанец, абиджанцы, Abidjanai |
Code postal | |
Préfixe téléphonique | +225 |
Fuseau horaire | UTC±00:00 |
Localisation | |
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Site officiel |
Abidjan est la capitale économique de la Côte d'Ivoire.
Comprendre
[modifier]Plaque tournante de l'Afrique de l'Ouest, la ville d'Abidjan exerce un pouvoir d'attraction certain sur les habitants de la Côte d'Ivoire. Attrait économique, certes, mais aussi attrait touristique.
Information touristiques
[modifier]Abidjan ne possède pas son propre office de tourisme mais le bureau d'information principal de l'office de tourisme ivoirien y est installé :
- 1 Côte d'Ivoire Tourisme
Place de la République,
+225 27 2025 1600, courriel : [email protected]
lun.–ven. : 7 h 30 – 16 h 30. –
(par la galerie droite du bâtiment).
Climat
[modifier]J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
Diagramme des températures en °C | |||||||||||
30 24 2j | 30 25 4j | 30 25 9j | 30 25 11j | 30 25 17j | 28 24 21j | 26 23 13j | 26 22 11j | 27 22 12j | 28 24 14j | 30 25 12j | 30 24 6j |
16 | 57 | 121 | 145 | 233 | 374 | 137 | 50 | 111 | 149 | 109 | 44 |
Temp. max. annuelles moyennes en °C 28.8 | |||||||||||
Temp. min. annuelles moyennes en °C 24 | |||||||||||
Précipitations annuelles en mm 1545 | |||||||||||
Nombre de jour de précipitations 132 | |||||||||||
Légende: Temp. maxi et mini en °C • Précipitation en mm | |||||||||||
Source : Weatherbase |
Toponymie
[modifier]Selon une légende locale, un explorateur européen perdu dans la région rencontra un vieil homme. À la question de l'étranger lui demandant le nom de l'endroit où ils se trouvaient, il répondit : « Je reviens de couper des feuilles », ce qui se prononce en langue ébrié T'chan M'bi djan. L'oreille peu exercée de l'explorateur cru entendre Abidjan et le consigna dans son carnet de voyage et ainsi fut baptisée la ville.
Histoire
[modifier]Le , Abidjan devient le chef-lieu de la colonie et, le , prend le titre de capitale de la République de Côte d'Ivoire, après Grand-Bassam (limitrophe au sud-est d'Abidjan) et Bingerville (maintenant une commune intégrée à Abidjan à l'est), mais avant Yamoussoukro qui a été établie à l'intérieur du pays comme capitale officielle.
Bibliographie
[modifier]- Sophie Chegaray (livre-reportage conçu et réalisé par les équipes du journal « Fraternité Matin »), Abidjan (reportage), Abidjan, Fraternité Matin, , 212 p. (OCLC 10507155)
- Alain Bonnassieux, L'autre Abidjan : histoire d'un quartier oublié (société et conditions sociales), Paris, Kartala, , 220 p. (ISBN 978-2-8653-7191-4) (OCLC 462084982)
- Gérard Bellanger (ill. Christian Mercier de Beaurouvre et les enfants d'Abidjan), Abidjan des enfants : le livre de Guédé (fiction), Montreuil, Éditions de l’Œil, , 119 p. (ISBN 978-2-9124-1502-8) (OCLC 54769156)
Communes
[modifier]Treize (13) communes composent la ville d'Abidjan :
- les dix communes centrales de Le Plateau (centre historique, administratif, commercial et financier), Abobo, Adjamé, Attécoubé, Cocody, Koumassi, Marcory, Port-Bouët, Treichville, Yopougon,
- auxquelles s'ajoutent les trois communes périphériques de Anyama (au nord), Bingerville (à l'est) et Songon (à l'ouest).
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Le Plateau — Surnommé par certains le « Manhattan des tropiques », ses nombreux immeubles surplombent la lagune Ebrié. Depuis la création du quartier ferroviaire qui accueille le terminus de la ligne de chemin de fer Abidjan-Niger, le Plateau n'a pas cessé de se développer pour devenir le centre administratif, commercial et financier de la Côte d'Ivoire. Sur Le plateau, on trouve beaucoup d'hôtels. | ![]() |
Abobo — La commune d'Abobo joue depuis longtemps le rôle de refuge pour les migrants ayant peu de moyens financiers. À l'origine, ce quartier accueillait l'une des premières stations de trains et s'est développé spontanément autour de cette gare. C'est un quartier très populaire où cohabite tous les groupes ethniques. | ![]() |
Adjamé — C'est à Adjamé que se situe les plus vieilles souches d'Abidjanais. Tandis que les colons s'installaient sur Le Plateau, les premiers migrants, venus travailler sur le chantier de la voie ferrée, construisirent leurs cases à proximité du village d'Adjamé. Ce quartier est aujourd'hui un centre de négoce intense où les commerçants ivoiriens, libanais, nigérians, mauritaniens, etc. se sont rapidement installés. Adjamé est principalement une commune commerçante. Il y circule donc beaucoup de monde, dont des pickpockets. Précaution : prenez garde à vos poches et à vos portables même si la police tente à sa manière de lutter contre ces voleurs de plus en plus ingénieux et téméraires. | ![]() |
Attécoubé — Situé sur une butte dominant la baie du Banco, Attécoubé est longtemps demeuré un simple village peu touché par l'urbanisation qui se développait dans les localités voisines. Au début de l'ère coloniale, Attécoubé a été le premier témoin du négoce d'exportation de bois. Les grumes d'acajou, niangons, sipos, sambas, framirés et autre billes de bois transitaient par la lagune jusqu'aux navires chargés de les emporter en Europe. Ces grumes de bois font encore partie du paysage d'Attécoubé. Par ailleurs, la commune englobe la totalité des 3 000 ha constituant le parc national du Banco. | ![]() |
Cocody — La renommée de cette localité résidentielle s'est construite autour de son quartier des ambassades, où de spacieux jardins surplombant la lagune enjolivent de fort belles demeures à l'architecture luxueuse. Cocody a l'énorme avantage d'être un faubourg autonome : la plupart des écoles primaires et secondaires y sont regroupées qui, s'ajoutant à l'université, à l'École Nationale d'Administration, à l'Institut des Arts en font un véritable centre culturel. La radiotélévision ivoirienne (RTI) y est également installée. Avec ses hôpitaux, ses marchés réaménagés et ses divers centres commerciaux (dont l'Espace Latrille, abritant la plus grande galerie commerciale de la région), Cocody ne manque de rien. Ses extensions (Riviéra, Deux-Plateaux, Angré) sont toutes aussi agréables à vivre. Cocody est le quartier de la bourgeoisie abidjanaise, quoiqu'il y ait des bidons villes comme Washington situé entre le centre de Cocody et Riviéra Golf. Quatre villages Ebrié, maintenant confondus dans la ville entourent Cocody : Blockaus, Anono, M'Badon et M'Pouto. Cocody a beaucoup perdu de son éclat depuis la crise économique. | ![]() |
Koumassi — Le village traditionnel d'Ancien Koumassi étant rattaché à la commune de Marcory, le nouveau quartier de Koumassi est bel et bien une autre ville, sortie des marécages depuis quelques années seulement. Elle bénéficie d'une zone industrielle qui lui garantit un certain équilibre entre les emplois et les logements. Le grand carrefour de Koumassi qui donne sur le grand marché est, par sa largeur, un des plus grands boulevards d'Abidjan. |
Marcory — Avec ses terrains marécageux et couverts de broussailles, Marcory a longtemps été jugée à peu près urbanisable. Jusqu'au jour où des particuliers ont pris l'initiative de remblayer la presqu'île et de mettre en valeur la cité. L'humour populaire s'exprime dans la domination des rues de cette localité ; ainsi, l'« avenue de la TSF » trouve ironiquement son prolongement dans un quartier qui, s'étant développé spontanément et dépourvu de tous réseaux est appelé Marcory sans fil. Plus à l'Est, on trouve Marcory Poto Poto, ce qui signifie « la boueuse ». Faisant également partie du domaine communal, la Zone 4 abrite à la fois des industries et des villas, selon le système usuel des concessions où les logements sont contigus à l'usine. Marcory renferme encore des villages tels que Biétry, Vieux Koumassi, Anoumabo qui se distinguent par leurs églises chrétiennes ou harristes, toujours présentes. Marcory est aussi la seconde commune la plus animée avec ses espaces comme « Milles maquis » ou se trouvent le Marcory Gasoil et le Jackpot deux grands maquis d' Abidjan, donc pour touristes. « Zone 4 » regorge de lieux assez haut standing pour s'amuser et se distraire. C'est un quartier qui sied assez bien aux européens qui y retrouvent les distractions de chez eux. | ![]() |
Port-Bouët — Étalée le long du littoral sur une dizaine de kilomètres au delà du canal de Vridi, Port-Bouët porte le nom du commandant Bouët Villaumez qui, en 1837, fut chargé par le roi de France Louis-Philippe Ier de conclure des traités de commerce et de protection avec des chefs côtiers. C'est en fait vers 1930 que Port-Bouët commença à être habité. La construction du quartier de « Derrière Warf » draina à ce moment toute une activité de manutention des marchandises. Le célèbre phare de Port-Bouët qui balaie la mer sur un rayon de 28 milles marins fut construit à cette époque. La deuxième étape du développement de cette commune remonte à la création du port en 1950. Usines et entrepôts se multiplièrent ensuite à « Vridi » qui devint la principale zone d'emplois d'Abidjan. Porte d'Abidjan par excellence, ayant cédé le port maritime à Treichville à cause du canal, Port-Bouët a en revanche accueillit l'aéroport international d'Abidjan. À Port-Bouët, le week end, vous pouvez partir en famille sur la plage de « Vridi ». Ici se trouve la plus grande société de raffinerie de Côte d'Ivoire appelée la SIR (Société Ivoirienne de Raffinerie). | ![]() |
Treichville — Treichville doit son nom à Treich-Laplène, premier administrateur colonial, qui géra les premières plantations d'Elima et signa de nombreux traités de commerce, de protection et d'amitié. Treichville fut construite à partir de 1910 sur une île inhabitée, juste en face de Le Plateau, où venait d'être construite le terminus de la voie ferrée de la RAN. En 1936, le quartier bénéficia des travaux de réalisation du canal de Vridi, assurant la liaison entre Le Plateau et le chantier sur le cordon lagunaire. Lorsqu'en 1950, le port d'Abidjan fut construit et Treichville devint le principal pôle de développement des industries et des entrepôts commerciaux qui s'installèrent dans les « Zones I, II et III ». Avec ses discothèques de la rue 12 et du Carrefour, comme France-Amérique, avec ses centaines de maquis où la bière locale et la viande de brousse constituent le menu traditionnel, avec ses marchés, à Treichville vous pouvez aller faire des achats dans le marché africain de Belleville. | ![]() |
Yopougon — Sans doute le quartier le plus populaire d'Abidjan avec son million cinq cent mille habitants, cette commune est aussi connu pour son grand bruit avec la rue Princesse, une des rues les plus animées d'Afrique, et ses nombreux maquis comme Le Shangai. Cette commune est aussi connue pour ces tournois de maracanas, jeux de football comprenant 6 à 7 joueurs au lieu de 11. | ![]() |
Abidjan est sans doute la ville la plus animée d'Afrique, même les noms de boroughs de New York ont été donnés aux quartiers d'Abidjan:
- Abidjan sud qui comprend les communes de Koumassi, Marcory, Port Bouet et enfin Treicheville. Ces quartiers sont appelés le Queens a cause de ses magasins, son port, et son aéroport.
- Les quartiers Est dont Cocody et Bingerville sont aussi appelés Staten Island à cause des résidences de luxe.
- Les quartiers Ouest sont appelés Brooklin à cause de son ambiance et de sa population. Ces communes sont Yopougon et Songon.
- Le quartier centre le plateau appelé Manhattan à cause de ses grattes ciels et de son plan d'eau.
- Les quartiers nord qui sont Adjamés, Attecoubé et Abobo sont appelés le Bronx à cause du taux de criminalité qui sévissent dans ces quartiers. Impossible de se promener même à 18 h.
Au cours des années 1970, « le champ de Yopou « fut désigné pour devenir la grande zone d'extension d'Abidjan et abriter les importants programmes de l'État en matière de logement sociaux. La station de recherche de l'ORSTOM (Office de la Recherche Scientifique et Technique d'Outre-Mer) et l'Institut Pasteur sont installés à Yopougon. Une zone industrielle s'y est implantée ainsi qu'un CHU moderne.
La langue officielle est le français. La plupart de la population parle le nouchi, un créole des langues ethniques du pays et du français.
Aller
[modifier]En avion
[modifier]Aéroport | Correspondance avec d'autres transports | Hébergement |
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En train
[modifier]Une ligne internationale relie le Burkina Faso et la Côte d'Ivoire, mais le trafic de passagers a été interrompu en 2019 avec l'épidémie de Covid-19 et n'a jamais repris.
Si la ligne de passagers était rétablie, voici les principales informations à savoir. Il faut compter au minimum 16 h 30, voire le double en cas de problème technique, pour faire le trajet en entier jusqu'à Ouagadougou (sachant que tout voyage au Burkina Faso est actuellement fortement déconseillé en raison de la guerre civile), et tout cela dans des conditions rustiques.
Abidjan compte quatre gares dont le terminus est la gare de Treichville.
Gares ferroviaires | Ligne | Correspondance avec d'autres transports |
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En bus
[modifier]En voiture
[modifier]Il y a seulement 50 km entre Abidjan et le Ghana. De même, l'autoroute A3 relie Abidjan au Burkina Faso. La voie terrestre reste toujours la plus utilisée en raison de la politique de la libre circulation des personnes et des biens dans la sous-région.
En bateau
[modifier]Abidjan possède un port de plaisance situé à bâbord dans la baie de Vridi:
- 6 Association sportive nautique d'Abidjan (ASNA) Baie de Vridi (Treichville),
+225 21 247420
club housse : lun.–dim. : 7 h 30 – 22 h 30. – Deux restaurants.
Circuler
[modifier]Se déplacer dans la ville, au moins en semaine, n'est pas aisé en raison des immenses embouteillages. Les tarifs varient de 200 F CFA à 5 000 F CFA selon la distance et le moyen de transport emprunté.
Les noms locaux et les fonctions des différents moyens de transport demandent aussi quelques explications :
- Gbaka – Mini-bus de transport en commun de 18 places. Extérieurement, ils sont souvent de teinte blanche avec des lignes ou des motifs de diverses couleurs. Le voyage en gbaka peut être pénible car les véhicules sont souvent mal entretenus et les conducteurs peu prudents. C'est cependant un moyen de transport bon marché, rapide et commun. Les gbaka' circulent entre deux terminus selon un itinéraire défini et les lignes les plus fréquentées sont celles de Abobo – Adjamé, Yopougon – Adjamé et Yopougon – Bingerville. Ces véhicules ont la particularité d'employer, en plus du conducteur appelé frappeur à cause de leur conduite irréfléchie, un jeune homme jouant le double rôle de recherche de clients et de réception du titre de transport des passagers. Cet équilibriste, accroché à la portière latérale coulissante ou arrière du véhicule, attire l'attention par des gesticulations, des acrobaties et des appels sur la destination, d'où son surnom de balanceur.
- Wibus – Minibus climatisés de la SOTRA qui desservent pour l’instant les communes de Cocody et de Bingerville. Peind en vert et blanc, chaque véhicule porte un numéro de ligne, allant de 701 à 711. Ils circulent tous les jours entre 5 h 30 et 20 h 30 (dernier départ) et les tarifs vont de 300 F CFA pour les plus petits parcours à 500 F CFA pour les plus longs.
- Wôrô-wôrô (taxi communal) – Taxi collectif à ligne régulière et à prix forfaitaire où cinq à six passagers peuvent prendre place et dont les couleurs dépendent des communes : bleu ciel pour Yopougon, jaune pour Cocody, beige avec deux lignes marron pour Abobo, vert pour Attecoubé, Marcory et Koumassi, vert avec une bande latérale blanche pour Adjamé, jaune avec une bande bleue en bas de caisse pour Port-Bouët, rouge pour Bingerville et enfin, bleu foncé avec une ou deux lignes marron pour, à la fois, Marcory et Treichville. Seul Le Plateau n'a pas de taxi communal. Le nom wôrô-wôrô signifierait « six-six » ou « 30 francs-30 francs ». Les interprétations sont nombreuse mais, en 1940, 60 francs représentait le prix d'une course.
En taxi
[modifier]Véhicules de couleur orange, les taxis sillonnent en très grand nombre les différentes communes d'Abidjan et peuvent être hélés à tout moment. Négociez le prix de la course car les compteurs sont quasi inexistants.
En taxi communal
[modifier]Un véhicule à moindre coût qui circule uniquement dans les quartiers à l'intérieur de chaque commune. Chaque commune a une couleur spécifique. Par exemple, la couleur bleue pour Yopougon ou Marcory, Jaune pour Cocody. Avec un tarif maximum de 500 F CFA.
En taxi inter-communal / mini-bus
[modifier]Très réputés dans la ville, les Gbaka (mini-bus de 16 places) et les Warren (voiture de 5 ou 7 places) sont des moyens de transport collectifs qui suivent des lignes fixées à l'avance.
Abidjan dispose aussi de bus de couleur verte pour le voyage express dont le prix est fixé à 500 F CFA et verte et blanche dont le prix est fixé à 200 F CFA.
En bateau
[modifier]Il existe trois compagnies navales sur la lagune Ebrié reliant les communes d'Abidjan. Ce sont la Société des transports Abidjanais (SOTRA), la Société de Transport Lagunaire (STL), et La Compagnie Ivoirienne de Transports Lagunaires (CITRANS). Ces flottes communément appelée Bateau-bus dessert Yopougon-Cocody-Le Plateau-Treichville à partir de seulement 200 F CFA.
Voir
[modifier]Plateau
[modifier]- Ministère de la Culture et de la Francophonie
Cité administrative, Tour E, 22e étage, courriel : [email protected],
+225 27 2021 8394 – autre courriel : [email protected] (
- 1 Cathédrale Saint-Paul
Avenue Jean Paul II –
(nombreuses marches à l'entrée). (
- 2 Mosquée Salam du Plateau
Avenue Crosson Duplessis,
+225 27 2024 3417, +225 27 2032 4949 –
(
- 3 Immeuble La Pyramide
Angle avenues Franchet d'Esperey et Botreau Roussel
officieux. – La Pyramide est un des buildings les plus remarquables du Plateau. Achevé en 1973, il a été construit par 'architecte italien Rinaldo Olivieri dans le style brutaliste. (
- 4 Bibliothèque nationale de Côte d'Ivoire
Boulevard Carde,
+225 27 2021 3534
lun.–ven. : 9 h – 16 h. (
- 5 Musée des civilisations de Côte d'Ivoire
boulevard Carde, courriel : [email protected]
du mardi au vendredi, de 9 h à 17 h.
2 000 F CFA pour les adultes non africains. (
Treichville
[modifier]Adjamé
[modifier]- Marchés d'Adjamé (
- 8 Sanctuaire Notre-Dame-d'Afrique d'Abidjan
Attécoubé, Cité Fairmont –
(nombreuses marches à l'entrée). (
- 9 Musée des cultures contemporaines Adama-Toungara (MuCAT)
En face de la mairie d'Abobo, courriel : [email protected],
+225 07 7963 8383
Du mardi au dimanche de 9 h à 18 h. (
Cocody
[modifier]- Musée municipal des arts contemporains Centre d'Étude et de Formation Artistique et Culturelles (CEFAC) à Riviera 2,
+225 27 2244 8354
Ouvert tous les jours sauf dimanche et lundi. (
Abobo
[modifier]- 10 Zoo d'Abidjan Route du Zoo,
+225 27 2023 9530
lun.–dim. : 8 h – 18 h. –
Créé en 1930 et nationalisé en 1972, il s’étend sur une dizaine d'hectares et dispose de nombreuses variétés d’animaux africains. (
- 11 Parc national du Banco
Accès par le bord de l'autoroute A1 en direction du nord – Forêt primaire de 30 km2 dans la commune d'Attécoubé avec beaucoup d'essences tropicales rares (acajou, avodirés, bois de gaufres, etc.). Plusieurs sentiers de randonnée parcours le parc. (
Port-Bouët
[modifier]- 12 Marché au bétail Port-Bouët
Toute la journée.
gratuit. (
Lagune Ébrié
[modifier]Bingerville
[modifier]- 1 Jardin botanique de Bingerville (à l'est) – Créé en 1904, il couvre une superficie de 55 ha.
- Bac d'Eloka (
Faire
[modifier]Apprendre
[modifier]Travailler
[modifier]Acheter
[modifier]Ayez toujours en tête que, comme partout en Afrique, il est d'usage courant de marchander dans les petits commerces et chez les petits artisans. Le prix qui vous est demandé est souvent surfait, surtout si vous ne faites pas très couleur locale.
Artisanat
[modifier]- 1 Centre Artisanal de la Ville d’Abidjan (CAVA)
Rue du Canal,
+225 0505 8253
lun.–dim. : 8 h – 19 h. – Situé en plein air et agencé comme un petit village, il rassemble une cinquantaine de boutiques artisanales proposant tout l’éventail des producteurs locaux.
- Marché de Treichville – On trouve toute sorte d'artisanat (tissus, sculptures, etc.) sur la rampe menant à l'étage du marché et à l'étage même. L'offre de pagnes est également très riche.
- Marché du vieux Cocody
- Rassemblement des scultpteurs de la Carena
Pagnes
[modifier]- Galerie aux pagnes Rue du Commerce, Plateau
Centres commerciaux
[modifier]- Cap Sud – Difficile de se rendre à Abidjan sans, à un moment, passer par Cap Sud, le plus grand centre commercial du pays. Situé à Marcory, au bord du boulevard VGE, ce dernier abrite notamment un grand supermarché, une FNAC, un food court, etc.
Galeries d'art
[modifier]- Fondation Donwahi
Manger
[modifier]Plateau
[modifier]- Café d'Abidjan
- Maquis des anciens combattants
- Jardins du boulevard de la République
- Chez Marcène
- Chez Georges
Treichville
[modifier]- Le Débarcadère Treichville
- Chez Ambroise
Zone 4 (Marcory)
[modifier]- Chez Léon (restaurant vietnamien)
- La Boule Bleue
Cocody
[modifier]- Maquis du Val
- Baie de Marcène
- Allocodrome – Un endroit typique et convivial au cœur de Cocody le soir
Riviera (Cocody)
[modifier]- 1 Bushman Café
,
+225 07 5949 6651
jeu.–sam. : 18 h – 0 h.