Chapelle des Cornillons | |
![]() La chapelle des Cornillons de Pregny-Chambésy. | |
Présentation | |
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Nom local | chapelle américaine (anciennement) |
Culte | protestantisme (calvinisme) (1901-2013) orthodoxe de rite copte (depuis 2013) |
Type | chapelle |
Rattachement |
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Début de la construction | 1900 |
Fin des travaux | |
Architecte | Edmond Fatio |
Autres campagnes de travaux | 1950 : organisation de l'espace intérieur |
Style dominant | Heimatstil |
Nombre de flèches | une |
Protection | Objet inscrit à l'inventaire genevois () |
Site web | http://5communes.epg.ch http://www.copticchurch.ch |
Géographie | |
Pays | ![]() |
canton | ![]() |
village | Pregny-Chambésy |
Localité | Chambésy (Chambésy-village) |
Lieu-dit | Cornillon |
Coordonnées | 46° 14′ 26″ nord, 6° 08′ 49″ est |
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La chapelle des Cornillons est une chapelle située à Pregny-Chambésy, en Suisse.
Bien que la chapelle appartienne à l'Église Protestante de Genève, elle est utilisée par la communauté copte orthodoxe depuis .
Localisation
[modifier | modifier le code]La chapelle est située au lieu-dit Cornillon, dans la localité de Chambésy, dans le sous-secteur de Chambésy - village, au sein de la commune de Pregny-Chambésy, dans la République et canton de Genève, en Suisse. Elle se trouve plus précisément au bord de la voie ferrée et du chemin des Cornillons.
Elle est également proche du hameau de Chambésy-Dessous et de la gare.
Histoire
[modifier | modifier le code]Présence protestante à Pregny
[modifier | modifier le code]Le territoire de Pregny, alors rattaché au pays de Gex, une seigneurie dépendante des comtes de Genève, est à l’origine un bastion catholique. Un premier lieu de culte catholique romain y prend forme sous la forme d’une chapelle, vraisemblablement construite au XVe siècle, au cœur du hameau de Pregny (46° 14′ 03″ N, 6° 08′ 24″ E )[1]. En , le comte de Savoie Amédée VI annexe ce territoire à ses États savoyards.
La Réforme
[modifier | modifier le code]En , la chapelle de Pregny devient protestante à la suite de la conquête du Pays de Gex par les Bernois et les Genevois et l'imposition de la réforme dans la région[2]. Cependant, en , les Bernois, souhaitant concentrer leurs efforts sur le Pays de Vaud, rendent Pregny et les autres territoires autour de Genève à la Savoie. Toutefois, le duc Charles III de Savoie, connu pour sa ferveur catholique et son hostilité envers le protestantisme, se trouve confronté à une demande des pasteurs de ces territoires. Ces derniers lui demandent de permettre la pratique du culte protestant dans les villages sous sa domination. Le duc accède finalement à cette demande le .
L'Édit de Nantes
[modifier | modifier le code]En , le territoire passe sous occupation genevoise. Dans sa capitulation, le duc Charles III de Savoie impose un article garantissant aux habitants du bailliage le libre exercice de leur religion, comme ils en jouissaient auparavant[3].
Le , en France, l'Édit de Nantes promulgué par Henri IV confirme et étend les droits et sûretés accordés aux huguenots par les édits et traités précédents[4]. Parallèlement, de profondes modifications politiques se préparent entre les cours de France et de Savoie. Genève, craignant d'être dépossédée du territoire du Pays de Gex qu’elle avait conquis et administré, entame auprès d'Henri IV d'intenses négociations pour en conserver la possession. Cependant, Henri IV finit par s'entendre avec le duc Charles-Emmanuel de Savoie et signe, le à Lyon, un traité par lequel toute la contrée située sur la rive droite du Rhône — soit la Bresse, le Bugey, le Valromey et le Pays de Gex — revient au royaume de France[N 1]. Cette clause vise à écarter toute réclamation ultérieure des Genevois. Toutefois, la question religieuse suscite de graves difficultés[4].
Rattachement au royaume de France
[modifier | modifier le code]Comme Pregny est désormais rattaché au royaume de France depuis le , les habitants envoient une députation au roi pour solliciter le maintien du culte protestant dans leurs temples[5]. En réponse, Henri IV s'engage à garantir aux protestants le libre exercice de leur culte, tout en imposant la « liberté de conscience ». Profitant de cette situation, de nombreux prêtres catholiques reviennent s’installer sur le territoire du pays de Gex. François de Sales, évêque de Genève, entreprend alors de récupérer pour l’Église catholique les biens et temples qui lui appartenaient avant la Réforme et réclame ainsi la restitution de tous les lieux de culte du bailliage. Après la mort d'Henri IV, la réaction catholique s'intensifie à la cour de France, et la seigneurie de Genève n’a plus la possibilité de faire valoir ses réclamations protestantes auprès de l’autorité supérieure[5].
En , deux commissaires, l’un catholique et l’autre réformé, sont désignés pour mettre en application l’Édit de Nantes dans le pays de Gex. Ils règlent équitablement les différends existants. Une ordonnance est rédigée le , stipulant que « la dépossession des temples, cimetières et pensions ne serait exécutoire que lorsque le roi aurait pourvu les réformés de fonds équivalents aux biens qui leur seraient enlevés ».
Cependant, sous l'influence de François de Sales auprès de la reine régente et du Conseil, un arrêt royal prescrit l’exécution directe de l’édit. En conséquence, tous les bénéfices ecclésiastiques ainsi que les temples doivent être restitués au clergé catholique. Deux nouveaux commissaires, Bénigne Milletot, conseiller au parlement de Dijon, et Pierre de Brosses (1569-1617), seigneur de Tournay, sont chargés de superviser cette exécution. Le et les jours suivants, Milletot et de Brosses entreprennent une tournée des paroisses du bailliage, procédant à la remise solennelle des églises et des bénéfices entre les mains de François de Sales et de son clergé[6]. Face à ces pertes, les protestants construisent de nouveaux temples pour remplacer les églises restituées, parvenant à en édifier dans une vingtaine de villages[5].
Le , le roi Louis XIV interdit l’exercice du culte réformé dans tout le bailliage du pays de Gex, à l’exception des villages de Ferney et de Sergy. Des agents du roi pénètrent alors dans presque tous les temples, brisent les bancs, murent les portes et enlèvent les cloches. Par un arrêt du , Louis XIV ordonne la démolition des temples protestants du pays de Gex. Jean d'Arenthon d'Alex, successeur de François de Sales, y supervise les destructions. Le temple de Pregny, parmi dix-neuf autres, est ainsi détruit[7]. Le , un arrêt du Conseil royal interdit définitivement l’exercice du culte réformé dans toute l’étendue du bailliage de Gex[7].
En , en l'absence totale de catholiques à Pregny, Jean d'Arenthon d'Alex, décide d'y fonder une cure. Deux ans plus tard, il décide de reconstruire la chapelle de Pregny sur le même emplacement que l'ancienne et la consacre le [N 2]. Le , il place à Pregny le curé Louis Frémin (1655-1726) de Meyrin, peu apprécié des protestants du bailliage, avec pour mission de convertir les familles pregnotes au catholicisme[N 3]. Afin d’accélérer la reconversion, le curé Frémin fait prêcher une mission par les pères capucins durant le mois de ; les jésuites d’Ornex viennent également lui prêter main-forte[8].
L'Édit de Fontainebleau
[modifier | modifier le code]À la suite de la révocation de l'Édit de Nantes et de la promulgation de l'Édit de Fontainebleau le , de nombreux protestants vivant à Pregny quittent le territoire pour s’installer à Genève et dans le Pays de Vaud[9]. Dès lors, la présence de familles protestantes sur le territoire de Pregny devient très faible.
Les différentes écoles protestantes
[modifier | modifier le code]École des Ormeaux
[modifier | modifier le code]Depuis la création de la paroisse protestante de Genthod en , la commune de Pregny y est rattaché[10].

Dans les années , Alphonse Favre (de), propriétaire de la maison de maître « Les Ormeaux », choqué par l’isolement des familles protestantes vivant à Pregny, décide, avec le soutien de la famille Sarasin, d’ouvrir une école primaire dans un petit chalet situé sur sa propriété accessible depuis le Chemin des Chèvres. À l'enseignement primaire, des cours religieux protestants y sont également dispensés le jeudi, ainsi que le catéchisme le dimanche, auquel les adultes et les parents sont également conviés[10]. Celle-ci est ouverte le [11]. Les cours sont assurés par M. Sené. À la fin de chaque semestre, des examens sont organisés et des prix sont remis, accompagnés d’un rapport présenté par M. ou Mme Favre, M. Maurice Sarasin (1812-1873) ou M. Sené[10].
Jugeant l'école primaire publique dorénavant bien dirigée, Alphonse Favre estime alors que son propre établissement n’a plus lieu d’être. Toutefois, l’enseignement religieux ne figurant pas au programme officiel, il décide en de fermer son école primaire, tout en maintenant l’école du jeudi et le catéchisme. Pour ce faire, il fait démolir le petit chalet et dispense provisoirement les cours dans la maison de maître, avant de les transférer dans une dépendance construite spécialement à cet effet (46° 14′ 18″ N, 6° 08′ 31″ E ). Une bibliothèque d’environ 300 ouvrages y est également installée. Les cours sont dès lors assurés par des ecclésiastiques protestants, comme les pasteurs Astier, Jean de Vismes (1841-1930), Charles Faure (1829-1913), Benjamin Tournier (1826-1904), Jean-Philippe Dardier (1831-1923) ou encore Charles Delérat; parfois, par des étudiants de la Faculté libre de théologie[10].
À la mort d'Alphonse Favre en , son fils, Édouard Favre (1855-1942), poursuit l’enseignement protestant dans l’école. L’auditoire devenant de plus en plus nombreux et la salle trop exiguë, Favre la fait restaurer et agrandir en [10].
École de la famille Gasparin
[modifier | modifier le code]En parallèle, Agénor et Valérie de Gasparin, propriétaires de la maison de maître « Le Rivage », donnent également, dès , des cours d’école du dimanche dans leur propriété (46° 14′ 20″ N, 6° 09′ 02″ E ). À la mort de son mari, survenue le , Valérie est rongé par le chagrin et choisit de ne plus quitter la maison de maître. Recluse dans sa chambre, elle refuse même de descendre au jardin et maintient les volets fermés pendant plusieurs années. Cependant, la religion protestante demeure une part essentielle de sa vie. Pendant douze ans, chaque dimanche, elle reçoit chez elle, entre deux et quatre heures de l'après-midi, quatre jeunes filles par semaine. Au total, une centaine de jeunes femmes — institutrices, demoiselles de magasin, ouvrières en horlogerie, entre autres — franchissent sa porte. À chacune, elle accorde un quart d'heure d'entretien, s'enquérant avec bienveillance de leur situation personnelle. Ensuite, elle réunit ses invitées pour un culte protestant suivi d’un goûter[12].

À la mort de Valérie en , la tradition de son école du dimanche est reprise par William Barbey, mari de la nièce de Valérie[10]. Celui-ci dispense les enseignements religieux dans la maison de maître « Les Jordils » (46° 14′ 11″ N, 6° 09′ 00″ E), propriété qu’il a fait construire sept ans plus tôt pour recevoir également les collections botaniques de son beau-père Edmond, frère de Valérie[13].
Chapelle protestante des Cornillons
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Pour poursuivre ses enseignements religieux, William Barbey fait construire en une chapelle, confiée à l’architecte Edmond Fatio[14]. Elle est édifiée en bordure de la voie ferrée, au lieu-dit Cornillon, à Chambésy-Dessous, et adopte un style Heimatstil.
De son côté, Édouard Favre choisit de s’associer au projet de William Barbey et ferme son école de catéchisme des Ormeaux, tout en y maintenant le culte pour les adultes. Sous l’impulsion d’Ernest Hentsch (1853-1921), propriétaire de la maison de maître « La Fenêtre », et d’Édouard Sarasin, la paroisse de Pregny–Grand-Saconnex est fondée. Le temple des Crêts-de-Pregny, avec son presbytère, est construit en également par Edmond Fatio au Grand-Saconnex, à la limite communale avec Pregny (46° 14′ 03″ N, 6° 07′ 47″ E ). Le culte dominical aux Ormeaux n’ayant plus lieu d’être, il est célébré une dernière fois le [N 4],[10].
Dans les années , la chapelle est officiellement reprise par la paroisse de Genthod. Il est alors décidé qu’elle ne doit plus être utilisée uniquement pour le catéchisme, mais également ouverte au culte, afin de concurrencer celui célébré à la chapelle des Crêts-de-Pregny. L’intérieur est entièrement réaménagé et un orgue y est installé.
Dans les années , les paroisses de Genthod et de Pregny–Grand-Saconnex fusionnent pour former la Paroisse des 5 Communes. Celle-ci regroupe les fidèles protestants des communes de Bellevue, Genthod, Grand-Saconnex, Pregny-Chambésy et Collex-Bossy[15]. La paroisse dispose de trois lieux de culte : les temples de Genthod et des Crêts-de-Pregny (au Grand-Saconnex), ainsi que la chapelle des Cornillons (à Chambésy).
Le , la chapelle est inscrite à l’inventaire des biens culturels par le Département des Travaux publics du canton de Genève[16].
Chapelle copte orthodoxe
[modifier | modifier le code]Dès , les familles de confession coptes orthodoxes suivent le culte orthodoxe francophone dans la chapelle Sainte-Trinité & Sainte-Catherine du Centre orthodoxe du Patriarcat œcuménique de Chambésy. Par la suite, leur culte, selon leur rite, est célébré deux à trois fois par an dans l'église grecque orthodoxe Saint-Paul, mise à leur disposition. L’arrivée, au début des années , d'Égyptiens de confession copte dans la région entraîne la nécessité de proposer des services plus réguliers. En , le pape copte orthodoxe Chenouda III d’Alexandrie fonde l’Église copte orthodoxe de Suisse romande. Enfin, en , la communauté copte orthodoxe s’installe dans sa propre église à Vernier, avant de déménager à Meyrin en [17].
Une deuxième communauté copte orthodoxe se forme alors à Genève. Depuis Pâques , la Paroisse des 5 Communes loue la chapelle à cette nouvelle communauté[18],[19]. Celle-ci réorganise et aménage l’intérieur de la chapelle pour y célébrer son culte.
Architecture
[modifier | modifier le code]Son architecture, caractérisée par des murs en appareil rustique, une toiture à décrochements et un clocheton, est typique du Heimatstil, un style très présent à Genève à l'époque de l'Exposition nationale suisse de .
Le chœur abrite une peinture murale de Thierry Vernet, réalisée en 1945-1946, représentant la Cène[20].
Clocher
[modifier | modifier le code]Le clocher est doté d'un clocheton et supporte une cloche datant de , d'un diamètre de 48 cm et pesant 250 kg. Des inscriptions figurent sur la cloche : « Donnée par les Protestants de la Paroisse de Pregny - Grand-Saconnex – MLCCCCXIII » et « Assemblez le peuple, formez une sainte réunion! Assemblez les vieillards. Assemblez les enfants! Joël Ch. II.V.16 ». La cloche est encore sonnée manuellement[18].
Centre paroissial
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La maison de paroisse, située au Chemin des Crêts-de-Pregny et inaugurée le , est vendue en en raison de sa désaffection liée à sa situation peu propice (46° 14′ 08″ N, 6° 07′ 57″ E). Les fonds récoltés permettent la construction d’un centre paroissial à l’Avenue de Tournay, à Chambésy, comprenant une salle de réunion, un bureau pastoral et le secrétariat de paroisse, ainsi que l’aménagement d’un autre centre paroissial au rez-de-chaussée du presbytère au Grand-Saconnex. Les deux centres sont inaugurés en [11].
Lors de la fusion des deux paroisses dans les années 2000, l’administration est transférée au presbytère du Grand-Saconnex, laissant le centre paroissial de Chambésy devenir uniquement une salle de réunion.
Galeries
[modifier | modifier le code]- Carte postale représentant la chapelle au début du XXe siècle.
- Carte postale représentant la chapelle au début du XXe siècle.
- Photographie de la chapelle prise en .
Anecdotes
[modifier | modifier le code]- C’est à la chapelle des Cornillons, en , que le musicien Jozsef Molnar donne son premier concert de cor des Alpes, accompagné d’un organiste[21].
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- ↑ « à condition qu’il ne pourrait être détaché sous aucun prétexte ».
- ↑ De plus, en mars 1685, Nicolas de Harlay, l'intendant de Bourgogne, se rend dans le pays de Gex afin de détruire les deux seuls temples encore protestants : ceux de Ferney et de Sergy.
- ↑ Après le passage du curé Frémin, il y avait des familles protestantes revenues au catholicisme. Déjà en 1685, on avait compté dix-huit abjurations et onze autres en 1686.
- ↑ La salle des Ormeaux ne reste pas inutilisée pour autant : de nombreuses séances de la Croix-Bleue y sont organisées, ainsi que des réunions de couture pour les habitants de la commune. À l’achat de la maison de maître par l’État de Genève en 1951, les dépendances sont louées à M. Louis Brüll, horticulteur-fleuriste, qui y installe son logement et son atelier. À la fin des années 1960, la maison de maître est louée à la Mission permanente de la France et du Désarmement auprès des Nations Unies, qui y établit alors des bureaux, encore présents à ce jour dans les dépendances.
Références
[modifier | modifier le code]- ↑ Guillaume Fatio et Raymond Perrot, Pregny-Chambésy, commune genevoise, Pregny-Chambésy, Commune de Pregny-Chambésy, 1947 / 1978, 360 p., p. 35
- ↑ Théodore Claparède, Histoire des églises réformées du pays de Gex, Genève, Joël Cherbuliez, , 351 p. (lire en ligne), p. 7-8
- ↑ Henri Fazy, La guerre du Pays de Gex et l'occupation genevoise : (1589-1601), Genève, Georg,
- Fatio et Perrot 1947/1978, p. 27-30
- Fatio et Perrot 1947/1978, p. 27-30
- ↑ Théodore Claparède, Histoire des Eglises réformées du Pays de Gex, Genève, J. Cherbuliez,
- Fatio et Perrot 1947/1978, p. 27-30
- ↑ Fatio et Perrot 1947/1978, p. 27-30
- ↑ Fatio et Perrot 1947/1978, p. 31-34
- Guillaume Fatio, Pregny, commune genevoise et coteau des altesses, Pregny-Chambésy, Commune de Pregny, , p. 175-178
- Guillaume Fatio et Raymond Perrot, Pregny-Chambésy, commune genevoise, Pregny-Chambésy, Commune de Pregny-Chambésy, 1947 / 1978, 360 p., p. 163-166
- ↑ Guillaume Fatio, Pregny, commune genevoise et coteau des altesses, Pregny-Chambésy, Commune de Pregny, , p. 291-299
- ↑ Guillaume Fatio, Pregny, commune genevoise et coteau des altesses, Pregny-Chambésy, Commune de Pregny, , 300-301 p.
- ↑ (de) Isabelle Rucki, Dorothee Huber (ed.) (trad. de l'italien), Architektenlexikon der Schweiz 19./20. Jahrhundert, Basel/Boston/Berlin, Birkhäuser Verlag, , 614 p. (ISBN 3-7643-5261-2), p. 413
- ↑ Paroisses des 5 Communes, « Qui sommes-nous »
, sur 5communes.epg.ch (consulté le )
- ↑ Département des Travaux publics, « inscription à l'inventaire de la Chapelle des Cornillons bâtiment nº 180 »
, sur ge.ch, (consulté le ).
- ↑ Centre international d'information sur les croyances (CIC), « Eglise copte orthodoxe de la Vierge Marie »
, sur info-religions-geneve.ch (consulté le ).
- Paroisse des 5 communes, « Chapelle des Cornillons »
, sur 5communes.epg.ch (consulté le )
- ↑ « Villa, cohabitation, location: comment des biens immobiliers des Eglises se transforment », sur rts.ch, (consulté le ).
- ↑ « Chapelle des Cornillons », sur temples1907.ch (consulté le ).
- ↑ Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne, « Notice nº 46386 : Jozsef Molnar »
, sur Patrinum (consulté le )
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Pregny-Chambésy, commune genevoise, Guillaume Fatio, 1947 puis complété en 1978 par Raymond Perrot, ancien Maire de Pregny-Chambésy.
- Pregny-Chambésy, commune genevoise, deuxième volume (de 1978 à 1997), Pierre Heiniger, ancien Maire de Pregny-Chambésy, 2000.
- Commune de Pregny-Chambésy, carte historique, Commune de Pregny-Chambésy, .
- Pregny-Chambésy, d'hier et d'aujourd'hui, Commune de Pregny-Chambésy, .