Blamont
Blamont
La mairie de Blamont.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Doubs
Arrondissement Montbéliard
Intercommunalité Pays de Montbéliard Agglomération
Maire
Mandat
Serge Delfils
2020-2026
Code postal 25310
Code commune 25063
Démographie
Gentilé Blamontais, Blamontaises[1]
Population
municipale
1 236 hab. (2022 en évolution de +0,82 % par rapport à 2016)
Densité 123 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 23′ 11″ nord, 6° 50′ 56″ est
Altitude Min. 403 m
Max. 603 m
Superficie 10,06 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Montbéliard
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Maîche
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Blamont
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Blamont
Géolocalisation sur la carte : Doubs
Voir sur la carte topographique du Doubs
Blamont
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Blamont

Blamont est une commune française située dans le département du Doubs, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Ses habitants se nomment les Blamontais et Blamontaises.

Géographie

[modifier | modifier le code]

Blamont est située sur le plateau de Blamont (Lomont), à environ 600 m d'altitude. Les communes ci-dessous appartiennent également au plateau du Lomont :

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 312 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 11 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Dizier-L'eveque_sapc », sur la commune de Saint-Dizier-l'Évêque à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 099,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17,4 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Au , Blamont est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montbéliard, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[10]. Cette aire, qui regroupe 137 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (46,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (46,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,4 %), terres arables (28,1 %), prairies (17,7 %), zones urbanisées (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Blanmunt en 1232 ; Blammont en 1282 ; Blamont en 1284 ; Blanemont en 1309 ; Blandimonte en 1366 ; Blammont en 1373 ; Albo monte en 1447 ; Blarmont en 1588 ; Blantmont en 1611 ; Blasmont en 1717[14].

Il semble que l'étymologie de Blamont soit celtique, blan signifie cime et mon source[15].

L'agglomération se constitue à partir du XIIe siècle et est dotée de fortifications dès cette période. Un château est construit sur un éperon rocheux dominant le village et relié à celui-ci par un ouvrage avancé. Il est de forme carrée, flanqué d’un réduit d’entrée de forme trapézoïdale. Deux cents hommes peuvent y loger. Les remparts sont composés de murailles épaisses. Il sera assiégé à plusieurs reprises aux XVe, XVIe et XVIIe siècles[16].

En 1283, la seigneurie de Blamont avec celle du Clémont et du Châtelot furent soustraites des possessions des comtes de Montbéliard afin d'être remises à Thiébaud IV de Neuchâtel-Bourgogne qui était le petit-fils de Thierry III de Montbéliard ; en 1377 ce fut le tour de celle d'Héricourt de les rejoindre[17].

Au XIVe siècle, il sera fait le bornage des terres de Blamont pour éviter des frictions avec les Montbéliard, le seigneur de Neuchâtel-Bourgogne était représenté à Blamont par Esme Peurresey, écuyer, en qualité de châtelain et Huguenin de Willafans, seigneur de Fay comme bailli[17].

La seigneurie se composait de 13 paroisses en plus de la petite ville de Blamont. Celle-ci était le siège d'un commandement, d'un bailliage, d'une église, de halles, d'un château[18], d'un hôpital fondé en 1351 par le seigneur de Neuchâtel-Bourgogne avec le patronage et les dîmes de plusieurs églises pour subvenir à ses besoins[réf. nécessaire] et d'une perception comme en témoigne la présence de Jehan Luclat de Blamont, cité comme receveur du seigneur de Neuchâtel-Bourgogne lors d'une vente le 28 décembre 1396[19]. Parmi les terres que Blamont administre sont celles de Soyhières avec ses dépendances et son château, les droits sur les moulins de Laufon et les territoires de Porrentruy et de Beurnevésin, tout cela fut donné le 26 septembre 1402 par Thiébaud VIII de Neuchâtel à Jean et Thiébaud de Blamont : Nous Thiebaut seigneur de Nuefchastel et conte de Blancmont... donnons, baillons, cedons et transportons a tous iour maix a jehan et a thiebaut de Blancmont frere, nos bien amez escuiers, fils de feu Perrin de Roiche, jadix escuier...touz les droits, actions, raisons et réclamations quelconques, que nous houons, pouhons et deibuons hauoir es villes, finaige et territoires de Pourrentrui et de Burneuesin du dyocese de besancon, au chaistel et fourteresce de Soyeres du dyocese de Basle, et a toute la terre, appartenance et appendisses audit chaistel et fourteresce...et sur les molins de la ville de Loffons dudit diocese de Basle...que feu Jehan Henri de Dele escuier tenoit... Ce fief sera renouvelé le 15 décembre 1403[19].

Sa charte de franchise lui avait été remise en décembre 1308 par Thiébaud IV de Neuchâtel-Bourgogne[20]. Ce dernier, en décembre de cette année, fait plusieurs concessions aux habitants, tant à ceux du bourg de la halle, qu'à ceux du bourg-dessus qu'il déclare francs de toutes espèces de mainmorte, servitude, exactions, tailles, corvées et charuages[réf. nécessaire].

Assaut de Blamont par les Alsaciens et Suisses en 1475, Zürcher Chronik (chronique de Zurich), XVe siècle.

Lors de la guerre de Bourgogne, les Bernois dévastèrent Blamont durant l'été 1473. Le 31 juillet 1475, les Alsaciens et Suisses (4 000 hommes environ) entament le siège du château occupé par les troupes bourguignonnes et en obtiennent la reddition en août 1475[réf. nécessaire]. Le 28 mai 1477, un traité est conclu à Zurich entre la duchesse Marie de Bourgogne et les cantons suisses, il est décidé qu'Héricourt et Châtelot serait à l'archiduc Sigismond tandis que Blamont et Clémont reviendrait à l'évêque de Bâle. Ce dernier les restituera en 1478 aux Neuchâtel-Bourgogne[19].

À la mort de Guillaume de Neuchâtel-Bourgogne, l'empereur Maximilien en qualité de comte de Bourgogne, ordonnait en 1506 que son procureur-général au bailliage d'Amont se déclare comme propriétaire du fief de Blamont en totalité pour en empêcher la main mise d'Ulric VI de Wurtemberg-Montbéliard. Malgré cela les comtes de Montbéliard reprirent la seigneurie et firent reconstruire le château de Blamont en 1546 qu'ils utilisèrent comme résidence d'été[réf. nécessaire]. Après la conquête française, le château reçoit quelques améliorations : Vauban estime que l’escarpement est bien conçu ; Il n’y propose que des modifications mineures. Il revient en 1687 avec un projet plus important visant à une refonte complète des extérieurs. Finalement, seuls un abri casematé et une tour bastionnée seront construits[16]. À partir de 1699, une garnison est installée[réf. nécessaire].

Au début de la campagne de France, l'armée bavaroise, partie de la Sixième Coalition, s'empare par surprise du fort de Blamont le  : une compagnie d'infanterie et un peloton de chevau-légers, sous la conduite du capitaine von Heidegger (ou von Heideck), franchissent le pont-levis et désarment la petite garnison ; ils s'emparent de 12 canons, un mortier et une quantité de munitions[21],[22].

Le bâtiment casematé et la tour bastionnée du début du XVIIIe siècle sont les seuls vestiges du fort de Blamont, car un autre château a été bâti sur son emplacement en 1814.

En novembre 1950, l'exploration de la source souterraine de la Creuse s'est terminée par la noyade de 6 spéléologues, prisonniers de la montée des eaux[23].

En 2017, la ville est choisie comme lieu de tournage par l'équipe NX Télévision lors du Festival du Film d'un Jour[24].

Héraldique

[modifier | modifier le code]

Blason de la commune

Blason de Blamont Blason
D'argent à trois monts d'azur[25].
Détails
Armes parlantes (Blanc et Monts).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

[modifier | modifier le code]
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1800 15 Janvier 1814 (Date de décès à Blamont) Georges Philippe Ponssot   Notaire
Ancien procureur fiscal de la Seigneurie de Blamont
1814 1817 Francois Gérard Viette   Marchand de vin en gros
(Grand-Père paternel du Ministre Français Jules VIETTE)
1817 1830 Louis Xavier Loviat   Chevalier de l'ordre Royal et militaire de Saint Louis
1830 1833 Francois Gérard Viette   Marchand de vin en gros
1er Suppléant du Juge de Paix du Canton
(Grand-Père paternel du Ministre Français Jules VIETTE)
1833 1834 Jean Baptiste Petit   Aubergiste
1834 1835 Louis Joseph Fauche   Cultivateur
1835 5 décembre 1837 (Date de décès à Blamont) Francois Gérard Viette   Marchand de vin en gros
1er Suppléant du Juge de Paix du Canton
(Grand-Père paternel du Ministre Français Jules VIETTE)
1838 1843 Pierre Germain Perronne   Cultivateur
1843 1848 Stanislas Berthold   Médecin
1848 1852 Francois Joseph Viney   Notaire
1852 1870 Charles Francois Ignace Charue   Capitaine des Douanes
1870 1874 Francois Joseph Viney   Notaire
1874 7 décembre 1875 (Date de décès à Blamont) Charles Francois Ignace Charue   Capitaine des Douanes
1876 1879 Eugène Masson   Huissier
1879 10 Septembre 1896 (Date de décès à Blamont) Louis Georges Nicot    
1896 1897 Alexis Bernardin    
1897 1908 Edouard Perronne    
1908 1935 Alfred Masson    
1935 1945 Henri Ligier    
1945 1953 Gaston Cattin    
1953 1977 Félix Trabbia SFIO-PS Boulanger
Conseiller général du Canton de Hérimoncourt (1958-1976)
1977 1978 Jacques Guenezan    
1978 1980 Jean Paul Csuzi    
1980 1989 Michel Riche    
1995 mai 2020 Claude Perrot[26] DVG Médecin
mai 2020 En cours Serge Delfils[27]   Ingénieur et cadre technique d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

[modifier | modifier le code]

Démographie

[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].

En 2022, la commune comptait 1 236 habitants[Note 3], en évolution de +0,82 % par rapport à 2016 (Doubs : +1,88 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
615543533641679675698718686
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
624645720646694641655669671
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
632563514417512583594533724
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
7317281 0451 0211 0261 0421 1061 1311 097
2014 2019 2022 - - - - - -
1 1971 2101 236------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

[modifier | modifier le code]

L'hôpital le plus proche est l'hôpital Nord Franche-Comté situé à Trévenans, dans le sud du Territoire de Belfort (département voisin)[32],[33].

Lieux et monuments

[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Annuaire départemental du Doubs, 1842, p. 64.
  • Ephéméride du comté de Montbéliard, charles Leopold Eberhard Duvernoy, 1832,
  • Géographie universelle, tome 5, Anton Friedrich Büsching, p. 591.
  • Mémoires et documents inédits pour servir à l'histoire de la Franche-Comté, volume 1, Jacquin, 1838, p. 469.
  • Monuments de l'histoire de l'ancien évêché de Bale, volume 5, Joseph Trouikllat, 1867, p. 188, 189, 190, 701, 863, 865.
  • Recherches historiques sur la ville, la principauté et la république de Mandeure (Epomnaduodurum), Euglene Augustin Bouchey, 1862, p. 344, 363, 364.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

[modifier | modifier le code]
  1. « Doubs », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Blamont et Saint-Dizier-l'Évêque », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Dizier-L'eveque_sapc », sur la commune de Saint-Dizier-l'Évêque - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Dizier-L'eveque_sapc », sur la commune de Saint-Dizier-l'Évêque - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  10. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montbéliard », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Jean COURTIEU, Dictionnaire des communes du département du Doubs, t. 1, BESANÇON, CÊTRE, .
  15. annuaire départemental
  16. a et b « Fort de Blamont | Réseau des sites majeurs Vauban », sur sites-vauban.org (consulté le ).
  17. a et b Recherches historiques sur la ville de Mandeure
  18. Géographie universelle
  19. a b et c Monuments de l'histoire
  20. Mémoires et documents
  21. Versuch einer militärisch-historischen Darstellung des grossen Befreiungs-Krieges, tome 2, Weimar, 1815, p. 55-56.
  22. Maurice-Henri Weil, La Campagne de 1814 d'après les documents des archives impériales et royales de la Guerre à Vienne, t. 1, Paris, L. Baudouin, 1891, p. 21.
  23. « Le drame de la grotte de la Creuse - BLAMONT - DOUBS - GSAM - Groupe Spéléologique Archéologique de Mandeure », sur speleo-mandeure.fr (consulté le ).
  24. « Festival du Film d'un Jour (FF1J) | Annuaire Les Festivals », sur repaire.net (consulté le ).
  25. e forum de www.cancoillotte.net ; le franc-parler Comtois ; site:forum.cancoillotte.net ; consulté le:31 janvier 2021
  26. Site officiel de la préfecture du Doubs - liste des maires (doc pdf)
  27. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  32. Hôpital Nord Franche-Comté sur le site de la commune de Trévenans.
  33. Site officiel de l'HNFC.
  34. « Monument à Jules Viette – Blamont | E-monumen », sur e-monumen.net, (consulté le ).